"Je serai naturellement capable d'aimer au-dessus de tout désamour, De donner, même déposséder de tout, De travailler joyeusement même au milieu de tous les obstacles, De tendre la main malgré la plus complète solitude et l'abandon, De sécher des larmes malgré mon chagrin, De croire même si l'on ne croit pas en moi." Paulo Coelho (Aleph)
Le créateur m'avait-il précréé au Japon? Je me le suis toujours demandé, car quand je commence à lire un roman, je commence toujours par la fin. La sensation que cela me donne est inexplicable, mais je termine toujours par le début. Et je comprends mieux. C'est un peu comme si je lisais un Manga!
C'est donc tout naturellement par la fin que j'ai commencé à lire "ALEPH" de Paulo Coelho, et donc, selon ma logique, que j'ai terminé par le début.
Mais c'est quand je suis arrivée au milieu du livre que j'ai été conquise. À la page 160, il est écrit: " La quête de la paix est une manière de prier qui finit par générer lumière et chaleur. Oubliez-vous un peu, sachez que dans la lumière se trouve la sagesse et que dans la chaleur réside la compassion. En marchant sur cette planète, essayez de noter la vraie forme des cieux et de la terre. Ce sera possible si vous ne vous laissez pas paralyser par la peur et décidez que tous vos gestes et attitudes correspondent à ce que vous pensez."
Aleph est:
on reste toujours dans l'optique que l'oeuvre d'art ou bien l'oeuvre littéraire est subjectif. Cela dépend de la personne qui lit. Comme toutes les oeuvres, Aleph a bien de limites, surtout lorsque cela vient d'un grand auteur comme Paulo Coelho.
Nathasha Pemba